Coup de blues, tristesse, déprime... Pendant des années, j'ai été prisonnier de ces sentiments, enchaîné par une dépression qui semblait insurmontable. Les antidépresseurs étaient devenus le seul moyen d'avoir une vie relativement normale.
Et c'est là tout le problème : plus le temps avançait, plus je me sentais dépendant. Je me demandais si j'allais un jour pouvoir vivre sans cette drogue. Mais un jour, j'ai décidé de briser ces chaînes, de reprendre le contrôle de ma vie : j'ai arrêté les antidépresseurs d'un coup.
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Note de l'équipe d'Ecloria : Pour beaucoup de personnes, les antidépresseurs sont souvent vus comme un moyen de retrouver une certaine normalité dans leur vie. Ils peuvent apporter un soulagement des souffrances mentales et permettre à la personne de fonctionner de manière plus stable au quotidien.
Malheureusement, il y a un revers à la médaille. Les antidépresseurs peuvent également conduire à une dépendance et être une source de préoccupation quant à leurs effets secondaires. On devient émotionnellement engourdi ou détaché de ses propres sentiments. Il peut également y avoir une stigmatisation associée à leur utilisation, ainsi qu'une peur de devoir les prendre indéfiniment.
Heureusement, même si l'on en parle peu, il existe des solutions alternatives.
L'année de mes 32 ans sans savoir exactement pourquoi j'ai commencé à avoir des pensées sombres. J'avais beau essayer de rester positif, je n'y arrivais pas. J'étais juste vidé, sans énergie ni motivation.
À un moment donné, j'ai réalisé que je ne pouvais plus ignorer ce que je ressentais. J'avais besoin d'aide. Alors j'ai pris mon courage à deux mains et j'ai décidé de voir un médecin. Ça a été un peu stressant de franchir cette étape, mais je savais que c'était ce que je devais faire.
Quand je lui ai parlé de ce que je traversais, il a vraiment été à l'écoute. Il a posé des questions pour comprendre ce qui n'allait pas. Après un moment, le verdict que je craignais est tombé : j'étais en dépression. Ça a été un peu un choc, mais d'une certaine manière, ça m'a soulagé de mettre des mots sur ce que je vivais.
Ensuite, il m'a parlé de la possibilité de prendre des antidépresseurs. C'était un peu déroutant. Je ne m'attendais pas à ce que ça arrive si vite, mais j'étais prêt à essayer n'importe quoi pour me sentir mieux.
Quand il m'a donné la prescription, j'ai ressenti un mélange de soulagement et de nervosité. J'avais entendu des histoires sur les effets secondaires des antidépresseurs, donc j'étais un peu inquiet à ce sujet. Mais le médecin a pris le temps de m'expliquer comment ça allait se passer et à quoi je devais m'attendre.
Le premier jour où j'ai pris ce médicament, j'étais un peu tendu. Je me demandais si ça allait vraiment marcher, si ça allait me changer d'une manière ou d'une autre. Et bien sûr, je me posais des questions sur les effets secondaires.
Les premières semaines ont été un peu dures. J'ai eu quelques maux de tête et des nausées. Mais je me suis accroché, en me disant que ça valait peut-être le coup d'essayer. J'ai continué à voir le médecin régulièrement pour lui faire part de ce que je ressentais et pour ajuster le traitement si nécessaire.
Avec le temps, j'ai commencé à remarquer des petits changements. Rien de spectaculaire, mais je me sentais un peu mieux, un peu moins accablé par cette lourdeur constante.
Ce n'est que quelques années plus tard que je me suis rendu compte que même si j'étais un peu moins triste, j'étais aussi beaucoup moins heureux. Les antidépresseurs avait transformé ma vie en un tableau monotone, où les nuances de bonheur semblaient avoir disparu depuis longtemps. Tout était plat, je me sentais de moins en moins vivant.
J'avais l'impression d'être engourdi, déconnecté de mes émotions, comme si je naviguais à travers la vie en pilote automatique. Je savais que les médicaments antidépresseurs étaient censés m'aider. Mais je ne pouvais pas m'empêcher de me demander si je ne devenais pas dépendant d'eux.
J'avais peur du syndrome d'arrêt : troubles du sommeil, nausées, problèmes d'équilibre... Mais aussi de retomber dans cette abyssale noirceur émotionnelle dont je luttais pour m'échapper depuis si longtemps.
J'ai donc décidé de chercher sur internet des méthodes alternatives qui puissent m'aider dans ma dépression. Je voulais trouver d'autres solutions que les antidépresseurs, quelque chose de plus naturel.
C'est alors que j'ai découvert la méthode Ecloria Joya. Dans leur vidéo, ils expliquaient qu'il s'agissait d'une méthode douce qui permet de remodeler son cerveau et d'en finir avec les pensées noires. A l'époque, ils proposaient une garantie satisfait remboursé de 90 jours. Je me suis dit que je n'avais rien à perdre : si ça ne marchait pas, je me ferais rembourser.
Plutôt qu'un arrêt brutal du jour au lendemain, sans aucune compensation, je me suis dit : "j'essaye un mois, si ça marche je divise par 2 ma dose puis 2 mois plus tard j'arrête complètement" . Lorsqu'on prend des antidépresseurs depuis des années, arrêter en 3 mois c'est quasiment comme arrêter d'un seul coup.
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Note de l'équipe d'Ecloria : Nous recommandons d'attendre les premiers effets positifs d'Ecloria Joya (au bout de quelques semaines). Ensuite, consultez votre médecin pour une diminution progressive des antidépresseurs.
D'après une étude du CHU de toulouse publié dans le Journal of Affective Disorders, trois médicaments se distinguent clairement des autres en ce qui concerne les difficultés de sevrage : paroxétine (Deroxat), la venlafaxine (Effexor) et la duloxétine (Cymbalta). Redouble de vigilance, si tu es dans ce cas.
L'effet d'Ecloria Joya ne s'est pas fait ressentir tout de suite pour moi. J'imagine que c'est parce que j'étais dépressif depuis longtemps. Mon cerveau était certainement "câblé dans le mauvais sens" depuis trop longtemps si je puis dire.
Heureusement, au bout de 3 semaines d'utilisation, j'ai commencé à ressentir du bien être pendant les séances et même entre les séances ! Au bout d'un mois et demi, j'ai alors décidé de suivre mon plan et d'aller voir mon médecin pour commencer à diminuer les doses.
Au fur et à mesure que les effets des antidépresseurs se dissipaient, j'ai commencé à ressentir quelque chose que je n'avais pas éprouvé depuis longtemps : la vraie connexion avec mes émotions.
J'ai redécouvert la joie dans les petites choses de la vie, le plaisir dans les interactions sociales, la motivation à poursuivre mes passions. Chaque jour était un pas de plus vers la fin des médicaments, un pas de plus vers la reprise du contrôle de ma vie. J'ai arrêté au final en 5 mois en y allant progressivement. C'était beaucoup mieux pour moi au final que d'arrêter d'un seul coup les antidépresseurs.
Bien sûr, le chemin n'a pas été sans obstacles. Il y a eu des hauts et des bas, des moments de doute et d'incertitude. A chaque fois que j'avais un bas, je me tournais vers Ecloria pour aller mieux. J'ai appris je pense inconsciemment à remodeler mon cerveau de façon naturelle. Et c’est bien mieux et plus puissant que n'importe quel médicament.
Aujourd'hui, je suis fier de dire que j'ai réussi à surmonter ma dépression, à retrouver la lumière au bout du tunnel. Arrêter les antidépresseurs a été l'une des décisions les plus difficiles que j'ai prise, mais aussi l'une des plus gratifiante. Je suis devenu le maître de ma propre destinée, je peux à nouveau vivre pleinement. Je suis beaucoup plus serein et ça fait un bien fou.
Si vous vous trouvez dans une situation similaire, sachez qu'il y a de l'espoir, que vous avez le pouvoir de changer en douceur. Ne laissez pas les médicaments dicter votre vie.
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