Tu te lèves le matin avec une boule au ventre. Tu ne sais pas vraiment pourquoi, mais tout semble lourd. Tu ressens une sorte de vide, comme si quelque chose avait disparu en toi, une partie de toi. Tu ne sais plus où est la personne qui avait envie de faire les choses, qui riait fort, qui se projetait. Si ce sentiment de vide te suit depuis quelques temps, peut-être que tu traverses un épisode dépressif. Peut-être que ton corps et ton esprit essaient de te dire quelque chose. 

Peut-être qu’on t’a dit de te secouer. De te forcer à sortir. Qu’on a banalisé tes symptômes. Pire : qu’on t’a accusé de paresse, de faiblesse. Mais les troubles de la santé mentale existent bel et bien : la dépression est une maladie, pas un caprice. Pas un manque de volonté. Tu n’as pas à prouver ta souffrance. Tu as le droit d’être pris au sérieux.

Tout le monde peut être touché par une dépression légère à modérée. Mais certains facteurs de risques augmentent la probabilité : antécédents familiaux, événements de vie douloureux (deuil, séparation, perte d’emploi), stress chronique, isolement social, maladies chroniques… Connaître ces éléments peut aider à mieux comprendre ce que tu traverses.

Mais comment savoir si c’est vraiment ça ? Comment faire la différence entre une baisse de moral passagère et la dépression qui est une maladie à prendre au sérieux ? En effet, la France fait de la santé mentale sa grande cause nationale en 2025 car il est temps de dire “stop” aux préjugés quand il s’agit du bien-être : “Parlons santé mentale !” est le slogan de la campagne nationale et nous sommes totalement d’accord. 

Ici, nous te proposons d’explorer 10 indices révélateurs de la dépression. Et si tu te retrouves dans au moins 4 des 10 symptômes qui suivent, sache qu’il existe des solutions. 

La tristesse est un sentiment universel, on l’expérimente tous au moins quelques fois dans notre vie. Mais celle qui colle à la peau, celle qui revient presque tous les jours sans raison apparente diffère de la tristesse passagère. Si tu ressens une humeur dépressive persistante, un désintérêt marqué pour ce qui te faisait plaisir avant, il est temps de l’écouter. Ce ne sont pas juste des « coups de blues » qui passent en faisant quelque chose que tu aimes ou en voyant tes proches, la mélancolie ne te quitte pas quoi que tu fasses. Ce sont peut-être les premiers symptômes de la dépression.

Dormir. Dormir tout le temps. Et se réveiller encore plus fatigué qu’avant. Ce manque d’énergie, cette fatigue chronique ne sont pas anodins. Le ralentissement psychomoteur, cette sensation de se mouvoir au ralenti, est typique des troubles dépressifs. Tu as l’impression que chaque geste demande un effort surhumain : les tâches du quotidien, les gestes d’hygiène ou le simple fait de sortir du lit. Ce n’est pas que dans ta tête. Ton corps parle lui aussi.

L’un des indicateurs les plus fréquents de la dépression, ce sont les troubles du sommeil. Difficultés à s’endormir, réveils nocturnes, ou au contraire envie de dormir en permanence. L’assurance maladie reconnaît ces signaux dans la liste des symptômes de la dépression. Si tes nuits sont agitées et que ton sommeil n’est plus réparateur, il est temps de t’interroger et de te tourner vers un professionnel de santé. 

Manger devient une corvée. Ou au contraire, tu manges sans faim, pour tenter de combler un vide intérieur. La perte d’appétit, ou les prises alimentaires incontrôlées, sont des manifestations fréquentes de la dépression. Ce changement dans ton rapport à la nourriture est à prendre au sérieux. À la longue, les troubles alimentaires peuvent renforcer le mal-être et les symptômes dépressifs. 

Ce point est crucial. Si tu te surprends à avoir des idées suicidaires, même fugitives, ce n’est pas un détail. Ce sont des signaux d’alarme qu’il faut écouter. Il ne s’agit pas de faiblesse. Il s’agit d’une alerte, d’un appel au secours. N’attends pas pour en parler. À un proche. À un médecin traitant. Ou à un professionnel. Si tu vis cela ou que tu connais un proche dans cette situation, tu peux composer le Numéro National de Prévention du Suicide, le 3114. 

Ce sport que tu aimais tant. Ces balades du dimanche. Ces films qui te faisaient rire ou pleurer. Tout ça… est devenu fade. Tu ne ressens plus rien. C’est ce qu’on appelle l’anhédonie. Un mot complexe pour dire qu’on ne ressent plus de plaisir. C’est un marqueur puissant d’un épisode dépressif, peut-être le plus important et le plus parlant. 

Le cerveau tourne au ralenti. Tu lis une phrase trois fois sans la comprendre. Tu ne sais pas quoi choisir, même pour des choses simples comme le choix d’un déjeuner, d’un aliment lorsque tu fais tes courses. La capacité cognitive est souvent altérée en cas de trouble dépressif. Ce n’est pas un manque de volonté. C’est ton esprit qui se ferme à toute envie d’avancer dans ton quotidien. 

Oui, la souffrance de dépression  n’est pas que psychique, elle peut aussi s’exprimer dans le corps : maux de dos, tensions musculaires, migraines, troubles digestifs… 

Quand on ne trouve pas de cause médicale ou d’origine physique après plusieurs analyses, il faut envisager une cause psychique. Le corps parle quand les mots manquent. 

 Un discours intérieur dur, presque dénigrant envers toi-même. Tu te dis que tu n’es bon à rien ? Que tu n’y arriveras jamais ? Ces pensées dévalorisantes, automatiques, sont fréquentes en cas de dépression caractérisée. Ce n’est pas toi. C’est la maladie qui parle à travers ces mots blessants. 

Le baby blues touche 50 à 80% des femmes après l’accouchement. Si ces sentiments de morosité, de fatigue mentale et d’anxiété durent plus de plus de 2 semaines  après l’arrivée du bébé, on parle de dépression post partum, une réalité encore floue mais bien présente, un sujet tabou mais bien réel. Là aussi, une prise en charge adaptée peut tout changer.

La dépression est une maladie qui se soigne. Et il n’y a pas qu’une seule voie. Il y a des traitements médicamenteux, bien sûr. Les médicaments antidépresseurs agissent sur les neurotransmetteurs, notamment la sérotonine. Leur action met parfois plusieurs semaines avant de se manifester. Il peut également y avoir des symptômes de sevrage lors de l’arrêt du traitement, d’où l’importance d’un suivi médical. Mais ce n’est pas la seule option.

De nombreuses personnes choisissent de compléter, ou même de remplacer, le traitement pharmacologique par un accompagnement thérapeutique. La thérapie cognitivo-comportementale (TCC) est particulièrement efficace dans les cas de dépression légère à modérée. Elle aide à mieux identifier les pensées automatiques négatives, à les questionner, et à les remplacer par des pensées plus justes. 

La méditation de pleine conscience, l’hypnose, ou encore les approches corporelles peuvent aussi jouer un rôle positif. Ce qui compte, c’est de construire une prise en charge adaptée à toi, à ton rythme, à tes besoins.

Parles-en à une personne de confiance, à un professionnel, à toi-même aussi. Mets des mots sur ce que tu ressens.

🡪 Et si tu veux être accompagné(e) sans pression, avec douceur et bienveillance, il existe des solutions comme Ecloria, un programme conçu pour t’aider à retrouver ton équilibre mental. Que tu sois sous traitement ou non, Ecloria t’accompagne pas à pas, avec une approche respectueuse et naturelle, sans efforts de ta part. 

Tu n’as pas à rester seul avec ce poids. Si tu te reconnais dans ces signes, ce n’est pas une faiblesse. C’est un signal. Et tu peux y répondre. Il existe des outils, et des chemins à explorer. Tu mérites d’aller mieux. Tu mérites de comprendre ce que tu vis et de retrouver ta lumière. 

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✔ Ce que nous cachent les géants des laboratoires pharmaceutiques

✔ Les 4 zones du cerveau responsables de la dépression

✔ Un traitement avant-gardiste pour en terminer avec la dépression

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